De nos jours, le stress,la pression la culpabilité et les reproches dans le couple aboutissent parfois, à une libido réduite et une jouissance fragile ou manipulée .

S’affirmer clairement sans juger ni imposer mais en accueillant et suggérant , permet à chacun, de se sentir valorisé dans ses désirs comme dans sa sexualité .

Notre cerveau est directement relié aux organes sexuels par les différents messages hormonaux, ce qui influence en partie notre comportement sexuel. Dans les deux sexes, ce qui est au centre du mécanisme du désir, c’est la testostérone. C’est l’hormone sexuelle mâle mais qui existe aussi chez la femme. Elle est produite par les testicules, les ovaires et les glandes surrénales.

Chez la femme, d’autres hormones interviennent. 

Les œstrogènes sont sécrétées en début de cycle et atteignent le sommet de la production juste avant l’ovulation, la libido augmente alors. 

Puis, c’est au tour de la progestérone d’être libérée, et là comme c’est plutôt une hormone favorisant la grossesse, la libido tant à baisser légèrement. 

Une autre hormone, la prolactine, joue elle aussi un rôle majeur dans l’appétence sexuelle : plus elle est élevée, moins on en a envie de faire un câlin. Pas étonnant, quand on sait que c’est une hormone qui stimule la production du lait au niveau de la glande mammaire.

Le but du gynécologue est aussi là pour écouter vos questions, vos doutes, et vos craintes.