Les femmes peuvent avoir moins de désir sexuel en entrant dans la ménopause. Avant tout, cela n’enlève rien à leur réponse sexuelle, ni à leur capacité de parvenir et ressentir des orgasmes. 

La croyance selon laquelle la sexualité féminine finit avec le début de la ménopause est encore très répandue au sein de notre société. Parmi les causes principales des difficultés sexuelles qui peuvent l’accompagner, on trouve les représentations et les attributions négatives de la ménopause. Pourtant, le plaisir sexuel ne disparaît pas une fois ménopausée. 

Qu’elle soit débridée ou moins intense, il n’existe pas de «date limite» pour la sexualité de la femme (ou de l’homme). En général, elle évolue et s’enrichit même avec l’âge. Une étude américaine publiée en 2012 a ainsi révélé que ce sont à la fois les femmes les plus jeunes et les plus âgées –de plus de 80 ans– qui évoquent les jouissances les plus intenses.

Cette étude a même montré que non seulement la ménopause et l’après-ménopause ne signifient pas la fin de la sexualité féminine active, mais encore que la jouissance peut devenir à la fois plus intense et plus fréquente l’âge avançant.

En voilà une bonne nouvelle ! Une première  consultation à la Heal Clinic permettra d’en parler.